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[Presse] Quelques pas de côté

"Naturellement antérieur à la présente crise, le récit de Dominique Loreau prend aujourd’hui des accents prémonitoires, tantôt cocasses, tantôt glaçants. Sa polysémie même atteint au vertige." (Marie Baudet, La Libre Belgique)

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[Presse] Les dessous

"Un premier roman poétique et mystérieux qui, de son écriture délicate, relie bientôt les destins des trois jeunes filles" (Michel Paquot, L'Avenir, avril 2020).

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[Presse] Au bord du monde

"Au puzzle de l’existence, il manque toujours une pièce qui empêche que la raison se referme sur elle-même. C’est sur cette pièce cachée, introuvable, sur cette part onirique qui file dans l’ailleurs que Frédérique Dolphijn veille, soucieuse de ne pas résoudre l’énigme que chaque vie se pose à elle-même. Le voyage du verbe demeure fidèle à une éthique de l’inachevé."  (Véronique Bergen)

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[Presse] Le jour coude-à-coude

"Le blanc, le noir – entre, le gris. Le vertical, l’horizontal – la diagonale parfois. La présence, l’absence – en pointillés. (…) Rester, partir – revenir. Dehors, dedans – ou ailleurs, peut-être. Opposés, indissociables – coude à coude. Ce sont là quelques-unes des dimensions, proches, éloignées, que Colette Nys-Mazure effleure ou pénètre dans son dernier recueil." (Samia Hammami, Le Carnet et les Instants)

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[Presse] Poids plumes

"Il y a les oiseaux qu’elle a vus, ceux qui lui en rappellent d’autres, dont elle se souvient, il y a les oiseaux qu’elle imagine, ceux qui ont été soignés, il y a aussi ce chardonneret sur la toile de Carel Fabritius, il y a les oiseaux en liberté, d’autres avec le fil à la patte, il y a aussi l’oiseau qui se tient au bord de, celui qui est dans le cadre de la fenêtre. Il y a ceux dessinés par Kikie Crêvecœur, de gommes et de trait, ils s’accordent si bien à ceux d’encre et de mots de Nicole Malinconi." Michel Zumkir, Le Carnet et les Instants, octobre 2019.

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[Presse] Les Cerfs

Nous sommes séduits par cette écriture sobre et dense, qui montre sans afféterie les gestes du quotidien et de l’affection, ceux qu’on pose et ceux qu’on retient ; qui donne corps et vie aux objets et aux lieux ; qui dit sans emphase les sentiments, ceux qui naissent et ceux qui mûrissent, ceux qui consolent et ceux qui déchirent.
Un article signé Delphine Crahay sur le site La Cause Littéraire.

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