"Il y a les oiseaux qu’elle a vus, ceux qui lui en rappellent d’autres, dont elle se souvient, il y a les oiseaux qu’elle imagine, ceux qui ont été soignés, il y a aussi ce chardonneret sur la toile de Carel Fabritius, il y a les oiseaux en liberté, d’autres avec le fil à la patte, il y a aussi l’oiseau qui se tient au bord de, celui qui est dans le cadre de la fenêtre. Il y a ceux dessinés par Kikie Crêvecœur, de gommes et de trait, ils s’accordent si bien à ceux d’encre et de mots de Nicole Malinconi." Michel Zumkir, Le Carnet et les Instants, octobre 2019.