
[presse] Le Netsuke
Avec Le netsuke, l’écrivain joue sur les limites entre fiction et autobiographie. Le narrateur, un adolescent dans le Bruxelles des années 1970 et 1980, ressemble étrangement au jeune Thomas Lavachery. (Nausicaa Dewez)
Avec Le netsuke, l’écrivain joue sur les limites entre fiction et autobiographie. Le narrateur, un adolescent dans le Bruxelles des années 1970 et 1980, ressemble étrangement au jeune Thomas Lavachery. (Nausicaa Dewez)
Un livre comme un cri… retrouvez ici la revue de presse de ce titre bouleversant.
"Tantôt joyeuse, tantôt songeuse, tantôt peureuse, pleine de désir ou de larmes, la femme s'interroge sur la féminité, la maternité et la filiation dans un monde dont l'état inquiète." (Lucie Cauwe)
traduit de l'anglais (NZ) par Pierre Furlan - photographie : Robert Cross
«Un rêve codé.» C’est ainsi que Janet Frame a décrit Les Carpates à Tim Curnow, son agent littéraire, alors qu’elle était sur le point d’achever ce livre en octobre 1987[1]. Sans doute ne voulait-elle pas qu’il entretienne des espérances commerciales trop élevées. Il s’agit en effet d’un roman peu orthodoxe qui demanderait quelques efforts au lectorat dont la célèbre autobiographie en trois volumes de Janet Frame avait suscité l’essor dans les années 1980. Codé et onirique, comme tous les romans de Janet Frame, Les Carpates est aussi pour moi une avenue qui me ramène à ma première rencontre avec Janet.