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Vivre

(si vous sauriez comme j'avions)

Jean Marc Turine récits

16,50 € • 14 x 20 cm • 136 p • isbn 9782359841244 • mars 2020 • collection En toutes lettres

 

Quatre textes sont ici réunis, écrits – ou recueillis – à des époques très différentes. Ils ont en commun d’évoquer des jeunesses vécues dans des géographies sans frontières communes. Des jeunesses étrangères les unes aux autres. Des jeunesses vécues dans une solitude tragique, désespérément inhumaine. Et en cela, elles peuvent se reconnaître.

Des jeunesses, par leur proximité, ici, rassemblées, peuvent enfin se lire les yeux dans les yeux. S’entendre, s’accueillir, je le souhaite, les mains ouvertes dans une empathie d’amitié fraternelle.

 

Moi, Joseph Spira recueille le témoignage d’un rescapé des camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale. Un témoignage de ce qu’est survivre à l’innommable.

Un Gaucher dit, avec les mots simples d’un homme-soldat que les événements dépassent, la violence, la déroute et l’impossible reconstruction vécue en Indochine.

Brûlures porte avec empathie la voix des victimes, le plus souvent sur plusieurs générations, des bombardements de dioxine au Viêt Nam.

Les Chants d’Anjouan porte la trace d’une enfance heureuse qui ne peut se prolonger face à l’injustice sociale et économique et la misère sur les îles Comores.

 

Des témoignages essentiels, percutants, nécessaires dont Jean Marc Turine se fait le porte-parole et qui viennent enrichir la mémoire collective. Une écriture portée et habitée par chaque sujet pour transmettre et dire la pulsion nécessaire de la vie.

 

Dans la presse

"Ce recueil de Jean Marc Turine mène le lecteur dans un itinéraire abrupt, raide, dur, pénible et souvent difficilement supportable. Mais ce voyage est indispensable parce que l'humanité est une part de l'humanité et il est du devoir de tous de la connaître. Et avec ces quatre récits, l'auteur belge nous la fait connaître de façon immédiate, tangible, au corps à corps. Parce qu'il fait parler les victimes, et leur parole nous rentre dans le cœur et le corps pour ne plus en sortir." Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, juin 2020

 

 

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